Reconnaître le mal-être et le surmonter.
Connaître un sentiment de bien-être, c'est aussi se sentir bien :
- dans son corps ;
- dans sa tête.
Cela pourrait coïncider avec une certaine idée du « bonheur ».
De plus en plus de gens ne s'entendent-ils pas sur le fait que la santé passe avant l'argent et d'autres satisfactions ? Sans doute, l'un ne va pas sans l'autre et il n'est pas facile de vivre bien au quotidien - travail, famille, amis - sans avoir atteint cet état de santé, de bien-être et de plénitude.
Pourquoi cela est-il si important ? Explications.
Mal être : qu'est-ce qui ne va pas ?
Le mal être, qu'est-ce que c'est ?
Au fond, la première chose qui vient à l'esprit est ce que le mal-être n'est pas : le bien-être.
Si l'on cherche souvent à atteindre le bien-être, on cherchera très vite à faire disparaitre le mal-être. Le bien-être est donc :
- un objectif à atteindre ;
- un désir ;
- une volonté, un souhait ;
- ce vers quoi tout le monde tend.
En revanche, le mal être est caractérisé par :
- quelque chose de non souhaité, de non désiré ;
- quelque chose dont on souhaite se débarrasser au plus vite ;
- une souffrance.
Mal être : plusieurs types de souffrance
Il existe plusieurs manifestations du mal être :
- mal être physique : fatigue, atonie ou maladies... ;
- mal-être émotionnel : susceptibilité, manque d'estime de soi, anxiété, difficulté à gérer sa colère ;
- mal-être social : travail, relations familiales, sociales... (stress, démotivation, conflits).
De plus en plus de personnes sont en quête de réponses par rapport aux dogmes établis, et ce fait peut générer également un profond mal être.
Du mal-être vers le bien-être
Pourquoi sommes-nous tous en quête du bien-être ? Pourquoi le mal-être ?
- Le mal être peut être pris dans son aspect positif. Tout d'abord, d'un point de vue Yin et Yang, il est impossible d'être dans un état perpétuel de bien-être, à l'inverse nous ne sommes jamais complètement dans le mal être, ou du moins nous n'y sommes que temporairement et bien souvent la guérison nous amène une prise de conscience qui nous fait réaliser la valeur du bien-être et de la santé.
- Le mal être peut parfois être un « avertisseur », nous révélant un déséquilibre quelque part. Exemples :
- une fatigue intense peut être le signal que la démotivation ressentie au travail doit cesser et qu'il faut prendre les mesures en conséquences (ouvrir le dialogue avec l'employeur, ou changer d'emploi) ;
- un manque d'estime de soi peut nous pousser à une psychanalyse qui va révéler d'autres blocages du même coup...